Un pour tous, chacun pour soi !

Mon physique :


Je mesure 1,88 mètre. Je suis blond avec des yeux verts et j'ai une petite barbe blonde bouclée sur les joues dut fait de ma jeunesse car j'ai 26 ans. Ce qui fait de moi une personne assez grande. Je laisse ma chevelure aller en toute liberté. J'ai une carrure plutôt pas mal, et pour cause, je fait du mannequina à partir de 12 ans jusqu'à 20 avant de suivre des étude pour devenir prof. Bien que je trouve que  les gens qui vont travailler sont ennuyeux, j'oublie que je suis l'un des leurs quand je fait cours. Ma couleur préférée est le bleu. Mes élèves, bien que j'ai envie de les étrangler certaines fois, sont des enfants dont j'aime prendre soin. Les parents m'aiment beaucoup, surtout les femmes qui aiment prendre des rends-vous avec moi pour savoir comment se poursuit l'évolution de leur enfant. Mes passe-temps sont jouer du piano, chanter, danser mais celui que j'aime le plus, c'est la pêche. Le plaisir que l'on éprouve à faire cuire le poisson sur un bon feu de camps ou
à la casserole est un plaisir rare et précieux. Mais j'aime aussi étudier les insectes en forêt ; j'y voit des fois M. Freeplane qui batifole, comme à son habitude...

Mon caractère :


Je ne suis pas très sociable mais n'aime pas être tout seul. Je ne tolérerait pas qu'on me trahisse : sa confiance est un trésor précieux. Tout le monde à sa chance jusqu'à ce que chacun la perde. J'aime les week-ends et jouer avec les jouets des enfants. Oui, j'ai l'instinct paternel très, très développé. Je suis assez à l'écoute des autres et porte un parapluie et un haut de forme quand je me balade ; je suis quelqu'un d'un peu raffiné pour les chapeau. J'aimais dessiner des bateaux durant ma petite enfance.
Vous en pourrez pas me manquer : ma taille et ma carrure extraordinaires, le regard vif et un pas sera léger tel un chat. Je sifflera toujours quelques chansons et prendra une limonade le Samedi soir, avant la fermeture du café.






Petites chose encore :


Je possède une collection de crochet dans une boite au grenier que j'ai emporté pour je ne sait plus qu'elle raison ; un piano a queue auquel je joue quand je n'ai rien à faire et une large collection de livres dont la Comédie Humaine, les Rougon-Macquart et Harry Potter. J'ai aussi une collection de B.D qui est aussi grande avec Alix, Les Légendaires… Je possède tous les D.V.Ds de mes séries, Docteur Who, et films préférées.
Miror, miror

Ma vie n'était pas un Conte de Fée à vrai dire. Je suis né en 1690 à Londres en Angleterre, de parents franco-suisses. Mon père s'appelait Jehan Hook et ma mère Fleur-de-Lys Hugo. Il était roux et d'une très grande robustesse et elle d'un brun intense avec deux merveilleux yeux complaisants. Bien qu'étant un peu pauvres, nous étions très heureux. Mon père était poissonnier et ma mère l'aidait pendant que je tenait les comptes. De mon temps libre, je courrais dans les rues avec les gamins du coin dans les rues assez insalubres londoniennes. On chipaient un peu d'argents aux riches en faisant de menus travaux comme cirer les chaussures ou d'une manière plus illégale, mas c'était beaucoup plus rare. Cela nous donnait de quoi vivre en plus de la poissonnerie. Mon père rêvait de nous emmener loin d'ici pour vivre une vie meilleure. Un jour, mon père se fit embaucher en tant que marin et il nous laissa, à contrecœur, ma mère et moi. Je le suppliait de rester, en vain. Je le serrait dans mes bras ; tellement fort que je me demandais si le seul souvenir qu'il allait avoir de moi, ce fut la marque de mes ongles dans le dos pour longtemps.

« -T'en vas pas ! S'il te plaît, part pas ! » lui hurlait-je

Il m'embrassa sur le front. J'avais les larmes à mes yeux rougis. Il nous accorde un dernier regard avant de monter dans le bateau avec son sac. J'avais douze ans. Le bateau s'éloigne progressivement de la côte et on ne le voit plus. Deux mois plus tard, je perd ma mère dans la débauche. Alors je veut finir le rêve de mon père et je m'embarque clandestinement dans le bateau d'un certains Edward Tach, un homme imposant à la barbe noire. Je ne tarde pas à me faire découvrir mais craignant la mort, le capitaine est magnanime et m'emploie pour rapiécer les voiles. Je grimpe très vite dans la hiérarchie et mes jaloux meurent mystérieusement uns à uns…
En 1716, mon capitaine et les hommes renient la Reine Anne d'Angleterre et nous devenons pirates. À 26 ans, je deviens le second de Barbe-Noire.
Un jour que nous sommes près de la pointe de l'Amérique du Sud, un épais brouillard nous encercle pour ne se dissiper qu'au petit jour. Nous sommes près d'une île paradisiaque. Chacun pense que nous sommes morts mais Barbe-Noire est heureux, il ne sera plus poursuivit et nous aussi alors nous décidons de nous installer ici.
J'appris de Barbe-Noire qu'il avait appelé cette endroit Nullepart car cet endroit ne figurait sur aucune carte. Ça me plaît comme nom. On a même rencontrés des Amérindiens (échec diplomatique), des Sirènes (même chose) et des Fées mauves, bleues et rouges (je pense que ça ce passe de commentaires, vous avez saisis le truc).

Bien longtemps plus tard, des membres de l'équipage nous ramenèrent un drôle d'oiseau : un jeune blondinet de six ou sept ans et qui s'appelle Peter Pan, je croit.
Pan était attaché au mât et les pirates le regardaient avec satisfaction. Barbe-Noire s'approcha de lui. Il lui proposa de devenir pirate sur le bateau ou bien aux crocodiles.
Peter lui cracha au visage, prétextant qu'il ne sera jamais pirate ! Barbe-Noire le fit jeter à la cale et l’exécution aurait lieu demain matin. La cale était l'endroit le plus sombre du bateau alors Peter eut droit à une bougie. Il était pieds et poings liés et attendait la mort dans l'âme, l'heure de son exécution. Mais une idée lui vint soudain. Il approcha ses liens de la bougie et réussis à se détacher. Le pirate qui était sensé garder la porte avait oublié de la fermer et s'était assoupis. Il avait une dague sur lui. Doucement, Peter prit la dague et trancha la gorge de son ancien propriétaire. Il lui vola aussi un montre à gousset qu'il trouvait précieuse. Comme il tenait à avoir sa revanche face à Barbe-Noire, il fit un tel boucan qu'il réveilla tout l'équipage.
Pan était sur la planche.

« -Ne bougez pas ! Il es à moi ! » hurla la Barbe-Noire

Il fonça vers le gamin et le renversa. Pan lui tenait tête avec grande facilité qui était déconcertante. Sans prévenir, Pan, en s'envolant, fit tomber Barbe-Noire et lui planta sa dague dans la gorge de manière transversale. Nous étions bouleversés. Barbe-Noire, la terreur des mers, LE pirate le plus redouté de tout les temps était...mort tué par un gamin. La peur de le confronter et la tristesse d'avoir perdu notre capitaine nous pétrifiait. Il nous lançait des sourires goguenards.

« -Personne ne veut se mesurer à moi ? Votre Capitaine aurait eu honte de vous. Allez, je sent d'ici les crocodiles. Venez me jeter dans leurs gueules. »

C'en était trop, je dégainait mon épée et tout en me précipitant vers lui pour lui trancher la gorge, je lui hurle :
« -La ferme ! Tu n'est qu'un sale gamin prétentieux. Moi, Jacques Hook, le second de l'homme valeureux que tu a tué, il vas t'en cuire !
-J'ai hâte de voir ça. » fit-il avec un sourire

Je réussis à le déstabiliser et à le faire tourner. J'allais lui assener le coup de grâce quand, d'un mouvement que le Diable lui avait soufflé, il réussi à me couper la main. Vacillant jusqu'au bastingage, je voit un crocodile qui tourne près du bateau. Peter s'envola et ramassa ma main au passage. Main qu'il lança au crocodile et que ce dernier trouva fort appétissante. J'avais hurlé de douleur une fois encore et j’étais à terre. Je voyaient les marins repousser le crocodile à l'aide de torches enflammés. Peter Pan qui regardait la scène depuis le ciel, laissa malencontreusement tomber la montre à gousset que le crocodile prit pour un morceau de son ancien second avant de partir. Je fut transporté à l'infirmerie en vitesse et on me fit une opération. Nous avons fait une toilette funéraire et immergé dans l'eau de Nullepart.
À compter de ce jour, et une semaine plus tard, je dut mettre un drôle d'accoutrement en bois et en cuire qui se terminant par un embout dans lequel je mettait les crochets de la collection de Barbe-Noire qui avait été comme un second père pour moi.
Et depuis ce moment, j'ai juré de démembrer moi-même ce sale chien Peter Pan et que j'ai prit le nom de Jacques Crochet.



Changement de décor maintenant :

Brant, Bretagne. Retour à mes origines familiales...qui ne datent pas d'hier, je sait.
Pourquoi je suis arrivé dans cette ville déjà ? Ah, oui ! Je suis un nouveau prof et j'ai pas put choisir ma première affectation ! Bon, c'est le 1° Septembre, c'est la Rentrée des classes et j'ai le trac. Je suis tout seul face à...30 gosses qui ont entre...3 et 5 ans. Je me demande ce qu'ils vont dire les parents quand ils vont me voir avec ma tête d'enterré (je suis pas trop du matin jusqu'à ce que j'ai prit mon petit-déjeuné).
C'est la fête dans ma tête mais j’intériorise. Charmante ville, charmante école, charmantes jeunes mères, wouhou ! Je fini de préparer encore un peu mes affaires pendants que les enfants jouent avec les parents (trop mignons !). Moins mignon : la   petite Ratiba a vomi d'angoisse. Allez, nettoyage, au revoir et c'est le cours. Première chose que je leur apprend, les chiffres, les lettres et des mots simples.
Durant la récréation, je suis assis sur le banc et une jeune petite fille arrive en me présentant un morceau de papier. Elle me demande de sa voix fluette : « S'il te plaît...je peut avoir un autographe ? »
Un autographe ?! Je m'attendait à tout, même à dessiner un mouton, mais pas à ça !
Je la questionne et elle me dit que c'est pour sa maman qui m'as reconnut grâce à un magasine où le posait pour des maillots de bains. Elle me dit aussi que sa maman me trouvait très beau. Eh bien, elle remerciera sa mère pour ce compliment.
Finalement, ce jour ne fut pas catastrophique, aucun enfant n'est mort, ouf.
Allez, je vais au café, prendre une limonade grenadine. J'aperçoit un homme de mon âge au comptoir. Il est blond et m'as l'air vif. Soudain, je suis pris d'une folle envie de le tuer. Je me retient avec beaucoup de force de lui sauter dessus quand il passe devant moi et qu'il me salut d'un sourire. Terminant mon verre, je paie et je demande qui est cet étrange personnage. La serveuse me dit qu'il s'appelle Logan Freeplane et que c'est quelqu'un de très vivant et qui adore s'amuser. Secret de polichinelle : il est bisexuel. Je n'ai rien contre eux mais je ne sait pas pourquoi, bien que je ne le connaisse pas encire je le hais déjà.
J'oublie cette histoire et ce garçon en me détendant dans ma douche et en regardant « Docteur Who » à la télé avant de me coucher vers 22h30.

Le temps passe si vite que je ne le vois pas arriver qu'il est déjà repartit. Depuis le temps où cette histoire s'est passée, j'ai apprit à canaliser mes émotions quand je vois Freeplane et je reste assez indifférent. Les enfants sont toujours autant charmants et épuisants. Ma vie est toujours rythmée par la pêche, la limonade, le piano et l'école.
J'aime beaucoup cette petite ville bretonne charmante et accueillante. Je comprend pourquoi mes ancêtres s'étaient installés ici. Je me demande si il y a une journée crêpes bretonnes, tiens.

Bon, je te quitte cher journal, dans trente minutes, c'est la fin de la pause déjeuné et j'ai hâte de finir de leur montrer les animaux du monde. Après, je vais devoir leur apprendre que, dans le monde, il y a des gens qui ne parles pas le français…et quelque chose me dit que ça vas être très long !

J'aime bien.
Par hasard.
Code nettoyé par Willy
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